Le moratoire aurait dû (et doit !) permettre une remise à plat de la fiscalité écologique pour la rendre juste socialement, l’engagement d’un investissement massif pour les mobilités alternatives à la voiture individuelle et la rénovation énergétique des logements, la restauration de l’ISF, la révision du CICE, bref remettre de la justice sociale et fiscale, tout en engageant la transition écologique.
Mettre des politiques fiscales injustes sur le dos de l’écologie est irresponsable !
Sécurité : le Conseil constitutionnel censure des articles clés de la Loppsi 2
Le Conseil constitutionnel a censuré, jeudi 10 mars, treize articles de la loi d’orientation et de programmation pour