Le moratoire aurait dû (et doit !) permettre une remise à plat de la fiscalité écologique pour la rendre juste socialement, l’engagement d’un investissement massif pour les mobilités alternatives à la voiture individuelle et la rénovation énergétique des logements, la restauration de l’ISF, la révision du CICE, bref remettre de la justice sociale et fiscale, tout en engageant la transition écologique.
Mettre des politiques fiscales injustes sur le dos de l’écologie est irresponsable !
Rencontre du Cedis (Collectif d’entraide et d’innovation sociale)
En amont de l’ouverture des journées d’été d’Europe Écologie Les Verts, j’ai rencontré avec David Belliard, Emmanuelle Pierre-Marie,