Les scientifiques ont démontré que la lumière artificielle bouleverse l’environnement nocturne, la faune, la flore, la santé.
Par ailleurs, les collectivités locales dépensent en éclairage nocturne l’équivalent de 41 % de la facture de l’éclairage public.
Cela représente près de 4 millions d’euros par an pour la ville de Toulouse.
Et pourtant, même si la diminution de la pollution lumineuse est bonne pour la biodiversité, la santé et les finances de la ville, la majorité actuelle a fait le choix depuis 2014 de la développer à Toulouse, au lieu de limiter l’éclairage nocturne aux besoins de sécurité et valorisation ponctuelle du patrimoine.
L’écologie… des discours et des actes…
https://www.ladepeche.fr/2019/06/10/pollution-lumineuse-un-fleau-grandissant,8248342.php?fbclid=IwAR2JCdQDXDTZPrx1bAv1WaRIPmhdf8PvVtxqg0Arwo97s9CS1csN3DG-6yc