Doit-on payer en fonction de ce que l’on jette ?
Vaste débat dont la réponse n’est pas si simple, ou simpliste.
Les échanges de ce soir ont permis de sortir des préjugés pour ou contre.
D’une part, un intérêt à valoriser la réduction des déchets et obliger l’ensemble des citoyen-nes à s’interroger sur cette question, mais aussi d’autre part la nécessité d’interroger la société de consommation, la responsabilité des industriels qui produisent du suremballage, le manque d’ambition des politiques de prévention et réduction à la source des déchets…
La redevance incitative, un outil possible mais qui ne doit pas masquer l’exigence de construction d’une société zéro déchet !
Vers l’abandon du service public et de l’intérêt général… la commune de Toulouse considérée comme une entreprise
Hommage à Jean-Jacques Rouch, une vision de la politique municipale qui s’éloigne des services publics et de l’intérêt