J’ai procédé à un prélèvement de mon urine le 26 mars 2019 en présence d’Huissiers de justice qui l’ont envoyé en laboratoire pour dosage du glyphosate.
Le résultat est le suivant : 1,697 ng/mL.
Ce résultat démontre que je suis personnellement contaminé en forte quantité (au-delà du seuil admissible dans l’eau potable) par des molécules de glyphosate. Cette molécule est classée cancérigène probable par le CIRC, organisme dépendant de l’organisation mondiale de la santé. Ma santé est donc manifestement en danger.
Je n’utilise pas ce produit. Ma contamination vient donc soit de la chaîne alimentaire, soit de l’eau potable contaminée, soit de l’air. Je ne suis pas seul contaminé. De nombreuses campagnes d’analyses démontrent que la quasi-intégralité de la population est contaminée par cette molécule cancérigène probable. Ceci démontre une très large défaillance des entreprises produisant cette molécule, ainsi que des pouvoirs publics autorisant l’usage de cette molécule sur la base d’analyses et d’études d’impact insuffisantes.
C’est pourquoi, avec d’autres pisseuses et pisseurs volontaires, j’ai porté plainte contre toute personne impliquée dans la distribution et la large diffusion dans l’environnement de molécules probablement cancérigène de glyphosate pour :
– Mise en danger de la vie d’autrui,
– Tromperie aggravée,
– Atteintes à l’environnement (Destruction de la biodiversité, pollution des cours d’eau, des nappes phréatiques, des sols …).
#MonsantoSorsDeCeCorps
Manifestation contre la suppression de l’enseignement de l’occitan
L’occitan est un des éléments fondateurs de la spécificité et de la richesse patrimoniale de Toulouse et de