Malgré la mobilisation citoyenne, Jean-Luc Moudenc et sa majorité n’ont pas voulu aller au-delà de la demande à l’Etat d’engager l’état d’urgence climatique. Ils ont refusé de s’engager à assujettir l’ensemble des décisions de notre collectivité à leur impact neutre ou positif sur le climat et la biodiversité.
Les débats entre nos deux vœux ont démontré deux visions : étudier l’éventualité de faire de l’écologie d’un côté, l’engagement à agir pour l’écologie de l’autre.
C’est ce deuxième chemin que suivent les élu-es écologistes et que nous continuerons de proposer aux toulousaines et toulousains.
Un Conseil placé sous le signe de l’unité et de l’émotion
Aujourd’hui, se tenait un Conseil Municipal très particulier, au terme d’une semaine où notre ville s’est trouvée plongée