La pseudo mise au point de Jean-Luc Moudenc dont il est démontré dans cet article qu’elle est une réécriture de l’histoire n’est pas seulement pathétique, elle questionne la confiance dans le premier magistrat de la ville, que ce soit dans son expression comme sa gestion (de la crise actuelle en l’occurrence).
Au-delà des divergences politiques, c’est donc bien la confiance en Jean-Luc Moudenc dont il est question ici.
Sécurité, transports, aéroport : des renoncements, échecs, et la méthode du consensus du bras tordu
Conseil municipal du 21 octobre 2016… par toulousevertdemain